Haroun Origine Parents

Haroun Origine Parents – Lors d’un entretien avec Haroun, personne ne le prend au sérieux. La goutte qui fait déborder le vase pour un farceur. Nous écoutons et nous réfléchissons. La philosophie et la littérature sont les sujets de conversation. De sa lecture actuelle, Hannah Arendt, à Céline et son séminal “Voyage au bout de la nuit”. Il ne se précipite pas dans ses réponses et prend plutôt son temps. Il n’a pas beaucoup de patience pour la superficialité.
Il y a un changement de tempo sur scène. Les vents hurlent et s’accrochent. Discuter de l’actualité politique, de la société et de l’actualité. En raison des pièges de l’époque et de notre propre manque de foi. Ne pas utiliser de jaloux. La ville entière est dans le collimateur du tireur d’élite. L’humoriste de 35 ans réfléchit : “Ce qui me fait rire, ce sont ceux qui se mentent à eux-mêmes et au monde.”
Nous sommes tous pleins d’incohérences et de complexités qui font de nous des êtres humains. C’est une formidable source de motivation. Son sens de l’humour, qu’il qualifie de “sarcastico-gentil”, est hilarant. Témoignage de ce succès : il se produira au prestigieux théâtre parisien Edouard-VII, qui n’accueille qu’occasionnellement des comédiens, à partir de décembre et pendant près de deux mois.
Cet homme à lunettes aux yeux bruns, avec une silhouette quelque part entre un intellect et un cadre jeune et énergique, est une source constante d’admiration et d’émerveillement dans le monde du stand-up humoristique. Pour de nombreuses bandes dessinées, les créneaux de commentaires télévisés et radiophoniques sont le Saint Graal. Parmi les lieux qu’il a testés figurent Thierry Ardisson et France Inter.
Mais maintenant, elle a changé d’avis. L’idée que je puisse faire rire quelqu’un en moins de trois minutes m’est complètement étrangère. Ce n’est pas le même tempo, et j’ai besoin de temps. Introuvable, Haroun trace son parcours dans les circuits électroniques libres.
L’histoire de ceci est trouble et difficile à retracer. En utilisant un pudeur, il a jusqu’à présent échappé à la capture. Mais cela reste une décision. Je peux maintenant dire ce que je pense, dit-il avec un ton sérieux d’analyse.
Ce que l’on a le droit de dire ou de ne pas dire est souvent préjugé par ceux qui l’entendent, quelle qu’en soit l’origine. L’identité personnelle, cependant, est construite sur la base de nombreux autres facteurs pour moi. Pour le moment, cela me donne beaucoup de liberté.
Haroun veut le moins d’impact possible sur son style personnel. Sur scène, il faut porter un costume gris, une blouse et jamais un jean. « Je veux être absolument irréprochable et irréprochable. Plus j’apparais impartial, plus les gens entendront ce que je dis sans me préjuger », explique-t-il.
Son vrai nom est Haroun, et bientôt tout le monde le saura. Et qu’il a grandi dans la banlieue essonne de Bures-sur-Yvette. Un “lieu hybride, sans identité” qui l’a rendu plus “fluide”, selon lui. Personne n’a peur de la ville ou de la campagne quand on y grandit. Nous n’avons aucun lien avec qui que ce soit ou quoi que ce soit.
Même à ce jeune âge, son humour est clairement le moteur de sa dévotion. Chaque anniversaire et Noël, il recevait des cassettes de musique de Gad Elmaleh, Franck Dubosc, Eric et Ramzy, se souvient-il. Indentez profondément la coluche dans la marque.
Ce n’est pas seulement lui qu’il a épousé; il a épousé mes parents aussi. En effet, c’était un geste puissant. Avec lui, il prend conscience de la force de l’humour. J’ai finalement réalisé que le rire était un outil puissant. S’autoriser à aborder des sujets délicats et en parler calmement, en séparant ses sentiments de sa réflexion.
En 1995, le film “la Haine” a eu le même impact qu’une bombe. Là, Haroun apprend le break dance et commence immédiatement à danser constamment et intensivement. “C’est un endroit formidable pour apprendre la discipline et la créativité. Ceux qui l’ont pratiquée à un niveau professionnel disent que cela les aide à “trouver leur unicité”.
Avec un baccalauréat ès sciences à son actif, il décide de s’inscrire en école de commerce. Là, il apprend l’art de l’improvisation dramatique pour la première fois.Après avoir terminé ses études collégiales et parcouru le monde, il offre maintenant une formation en entreprise.La capacité de penser sur ses pieds et d’arriver rapidement à une déclaration cohérente.
Enivré par l’écrit, il s’envole. Après avoir publié ses premiers sketchs, il est rapidement devenu un succès dans la capitale nationale. Et une scène mémorable du Jamel Comedy Club de 2016. Le spectacle a commencé, et avec lui, le succès. Ce qu’il apprécie le plus dans l’humour, c’est le sentiment d’avoir « trouvé un médium pour faire passer une idée ».
Les gens peuvent être plus réceptifs à ce que vous avez à dire s’ils rient. Je veux qu’ils rient, mais je veux aussi qu’ils comprennent ce qui rend une certaine circonstance si drôle. Il est possible de briller tout en étant plongé dans ses pensées. La vraie joie se produit lorsque les deux peuvent être réunis.
Il prédit que l’avenir aura un tout nouveau spectacle. Rafraîchissement par les croquis qu’il poste sur Pasquinade.fr. Il aimerait lire un livre ou une pièce de théâtre. Mais il n’y a rien pour le faire s’arrêter et réfléchir à nouveau. Sauf peut-être pour un mouvement de breakdance.
Haroun sera en tournée à partir du 13 novembre à Limoges, puis à Bordeaux le 14, Pau le 16, Joué-les-Tours le 22, Man le 23, Saint Etienne le 28, Lyon le 29 , et Marseille le 30. Aussi, au Théâtre Edouard-VII du 12 décembre 2019 au 2 février 2020. (XIXe). De 29 à 59 €. La première algérienne de « HAROUN » se déroule sous le radar mais avec une certitude absolue.

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